Incompatibilité des PCD2 /PCD3.F27x(0) et « hydromètre M-Bus Receiver 868"

FAQ #101717

 

Au cours de notre analyse, on a constaté que la variation de la consommation de puissance de la « hydromètre M-Bus récepteur 868 » tout en recevant des données est plus élevé qu'il est spécifié dans la spécification M-Bus. Cela a pour conséquence que la communication entre le F271x et le "récepteur 868" aréomètre M-Bus ne fonctionne pas.
Notez que le constructeur spécifie explicitement que ce dispositif seulement doit être utilisé avec « son » maître de M-Bus, voir capture d'écran ci-dessous.

Informations détaillées
Récepteur de Radio analysées : Hydromètre M-Bus récepteur 868
L'appareil prend l'alimentation sur les lignes de communication M-Bus ; consommation de courant est d'environ 20mA (au lieu de max. 1.5mA). Jusqu'ici, ce n'est pas un problème tant que le périphérique est compté comme ~ 13 x chargement. Mais lors de l'envoi de données sur les lignes de M-Bus, la consommation actuelle de cet esclave change de plus de 10 ma, et ce changement est considéré comme des données entrantes du côté de maître de M-Bus.

Le M-Bus norme SN EN 13757-2 précise :
Variation de la tension de 1..15V ne doit pas modifier le bus actuel de plus de Nx3uA / V. N doit être spécifiée, les valeurs dans l'intervalle de 1 à 4 sont autorisées. Max. changer avec SBC M-Bus master : 12V * 4 * 3uA/V = 144uA.

Conclusion
Le « hydromètre M-Bus Receiver 868" n'est pas conforme à la norme M-Bus. (et son fabricant spécifie que ce récepteur doit être utilisée uniquement avec leurs maîtresses). Par conséquent, il peut être (par hasard) que cela fonctionne avec les maîtresses de tierce partie. Avec les modules F27x la fonctionnalité n'est pas garantie (garantie fonctionnalité nécessiterait une refonte du matériel de le F27x pour soutenir l'appareil spécial).

Remarque
En Allemagne le "aréomètre M-Bus Receiver 868" est distribué par l'hydromètre alors qu'en Suisse, il est distribué par Techem et en France, le même appareil est distribué par la société Sappel sous le nom « IZAR ».